Dans un communiqué de presse publié le 21 octobre, les acteurs et structures réunis au sein de la plateforme « Assurer l’avenir de la PMI », dont l’Uniopss, appellent le gouvernement à mettre le curseur sur la prévention précoce à travers une politique globale de promotion de la santé de l’enfant et de l'adolescent, des femmes et de la famille, avec des moyens financiers substantiels.
Alors qu'Adrien Taquet, secrétaire d’État, vient de présenter la stratégie gouvernementale de prévention et de protection de l’enfance, les acteurs et structures réunis au sein de la plateforme « Assurer l’avenir de la PMI », dont l’Uniopss, jugent que cette stratégie se concentre avant tout sur la protection de l’enfance, sans que les questions de PMI et de planification familiale ne soient véritablement prises en compte.
Dans un communiqué de presse publié le 21 octobre dernier, ils plaident donc pour un plan spécifique de prévention santé en faveur de la petite enfance, des femmes, de la famille, des adolescents, au titre de la PMI et de la planification familiale. Faute de quoi les services de PMI resteraient soumis à « l’attraction gravitationnelle de la protection de l’enfance qui se fait au détriment de la prévention précoce et prévenante ».
