Alors que le Comité interministériel de la transformation publique a annoncé, le 15 novembre dernier, la suppression début 2021 du Fonds de la Complémentaire Santé Solidaire, les associations membres du collectif ALERTE, animé par l’Uniopss, s’unissent pour exprimer leurs vives inquiétudes et désaccords quant à cette décision.

Malgré les efforts du lobby alcoolier, malgré l’annulation sous pression de l’Elysée de l’opération « Mois sans alcool » initialement prévue par Santé Publique France, il y a bien une campagne de « Dry January » en France. Une campagne animée par les associations, à laquelle l’Uniopss s’associe.

Faisant suite aux annonces gouvernementales pour répondre à la crise de l’hôpital, l’Uniopss appelle à une réforme plus globale, prenant en compte l’ensemble des acteurs de la santé.

Afin de partager les grandes propositions du Pacte du pouvoir de vivre à l’échelle locale, les organisations signataires du Pacte ont entamé un tour de France et les Uriopss sont particulièrement mobilisées.

Le 20 novembre, les associations et collectifs membres de la Dynamique De la Convention Aux Actes, dont est membre l’Uniopss, ont organisé une soirée festive et engagée au Théâtre du Merveilleux. Au sein de ce lieu magique, 12 actes politiques ont été remis aux décideurs publics à l’occasion des 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).

Le Collectif ALERTE a adressé le 7 novembre une lettre au chef de l’Etat pour attirer son attention sur la dégradation régulière de la situation des plus précaires ces deux dernières années.

Dans son dernier numéro Union Sociale revient sur la réalité et l’actualité de la Convention internationale des droits de l’enfant en France, alors que l’on célèbrera le 20 novembre prochain, les 30 ans de ce texte fondamental.

Alors que Myriam El Khomri doit rendre public demain son rapport sur la revalorisation des métiers du grand âge, l’Uniopss dévoile les résultats d’une enquête sur les difficultés de recrutement des établissements et des services, esquissant plusieurs pistes d’évolution.

Dans un courrier adressé au Premier ministre le 17 octobre dernier, l’Uniopss et plusieurs associations et organisations du secteur s’étonnent que la suppression de la taxe d’habitation prévue dans le prochain projet de loi de finances ne concerne pas les associations et organisations privées non lucratives œuvrant dans les secteurs sanitaire, social et médico-social.

Alors qu’a débuté la discussion en séance publique à l’Assemblée nationale du PLFSS 2020, l’Uniopss pointe, dans un communiqué de presse diffusé le 22 octobre, un projet très en deçà des défis actuels et propose une série d’amendements destinés à mieux prendre en compte les besoins des personnes en situation de fragilité.